Ils lui ont expliqué les règles après l’avoir enfermée. “Tu veux abandonner ? Alors on publie.” La voix était calme, presque administrative. Et maintenant, elle est là. À genoux sur la terrasse d’un dojo transformé en ring silencieux, les genoux sur le bois poli, deux sexes dressés de chaque côté de son visage. Elle n’a pas eu le droit de garder son téléphone, ni de parler à Lili. Mais elle sait que c’est elle. Elle seule pouvait l’inscrire à un tournoi pareil — avec ce genre d’“épreuves”. Asuka serre les poings. Puis les ouvre. Et les pose, tremblantes, sur les deux tiges tièdes qui l’encadrent.
Elle commence mal. Elle n’ose pas ouvrir la bouche. L’odeur la frappe d’abord — mélange lourd de sueur, de prépuce sale, de chair animale. Elle détourne la tête, frôle le deuxième sexe du nez, se fige. Elle entend un ricanement dans son dos. Une caméra est braquée sur elle. Elle doit y aller. Alors elle penche la tête, entrouvre les lèvres, et en prend un entre ses dents. Le goût est horrible. Salé, poisseux, presque rance. Elle lève les yeux, les referme. Elle pompe deux fois. Puis se tourne de l’autre côté. Elle alterne. L’un contre sa langue, l’autre contre sa joue. Ses bras sont raides, mais elle s’accroche. Et pense, à chaque va-et-vient maladroit : « J’vais lui défoncer la gueule. »
Le premier sexe éjacule alors qu’elle passe dessus sans y faire attention. Un jet chaud lui coule sur la tempe. Elle sursaute, se fige. L’autre pulse dans sa main. Elle baisse les yeux, bouche entrouverte, et se laisse envahir, encore une fois, sans dire un mot. Quand tout est terminé, elle ne bouge pas. Son menton goutte. Son souffle est court. On entend juste le bourdonnement de la caméra. Elle lève la tête, lentement. Puis souffle, presque sans voix :
« … Je croyais que c’était un combat. »
They explained the rules after locking her in. “Want to quit? Then we publish.” The voice was calm, almost administrative. And now, here she is. Kneeling on the polished wood terrace of a dojo turned silent arena, two hard cocks framing her face. She wasn’t allowed to keep her phone, or contact Lili. But she knows it’s her. Only Lili could’ve signed her up for a tournament like this — with these kinds of “trials.” Asuka clenches her fists. Then opens them. And places them, trembling, on the two warm shafts beside her.
She starts off poorly. She doesn’t dare open her mouth. The smell hits first — a thick mix of sweat, unwashed skin, something raw and animal. She turns her head away, brushing the second cock with her nose, freezing. She hears snickering behind her. A camera is pointed right at her. She has to go. So she leans in, parts her lips, and takes one between her teeth. The taste is awful. Salty, sticky, almost rancid. She looks up, then shuts her eyes. Pumps twice. Then turns to the other one. She switches back and forth. One against her tongue, the other against her cheek. Her arms are stiff, but she holds on. And thinks, with every clumsy motion: “I’ll fucking smash her face.”
The first cock cums while she’s mid-switch. A hot jet hits her temple. She flinches, freezes. The other pulses in her hand. She looks down, mouth still open, and lets it enter her again, wordlessly. When it’s over, she doesn’t move. Her chin drips. Her breath is shallow. Only the hum of the camera remains. She lifts her head, slowly. Then whispers, barely audible:
“...I thought this was a fight.”