Elle avait perdu. Le procès contre la Zaibatsu lui avait coûté des millions. Plus de dojo. Plus de sponsors. Il ne restait que des offres tordues, qu’elle aurait méprisées quelques semaines plus tôt. Mais là… elle avait dit oui. Un photographe indépendant. Un lieu “original”. Une exigence claire : qu’elle soit habillée. Que l’homme, non. Et qu’il y ait “contact final.”
Elle ne l’a pas touché. C’était le deal. Elle s’est mise en position, droite, face à la lumière. Il s’est placé derrière, déjà prêt, déjà dur. Le premier cliché a claqué. Puis il a gémi. Elle a senti la chaleur sur sa joue. Un instant plus tard, le sexe s’est affaissé doucement sur son épaule, dégoulinant encore. Elle a inspiré par le nez. Serré un peu les trapèzes. Et tenu la pose.
Le photographe a applaudi. Elle n’a pas souri. Elle voulait que ce soit fini. Mais elle n’a pas bougé. C’était dans le contrat.
She had lost. The lawsuit against the Zaibatsu cost her millions. No more dojo. No more sponsors. Only twisted offers remained—offers she would’ve mocked a few weeks ago. But now… she said yes. An independent photographer. A “unique” location. One condition: she stays dressed. He doesn’t. And there must be “final contact.”
She didn’t touch him. That was the deal. She took position, upright, facing the light. He moved in behind her, already hard. The first flash fired. Then he groaned. She felt the warmth on her cheek. A moment later, the cock settled gently onto her shoulder, still dripping. She breathed through her nose. Tensed her shoulders. Held the pose.
The photographer clapped. She didn’t smile. She just wanted it to be over. But she didn’t move. It was in the contract.