Elle donnait des cours du soir à un petit groupe difficile. Réinsertion, handicaps, corps meurtris. Lui, il avait un problème circulatoire grave. Un syndrome rare qui provoquait des douleurs insoutenables si la pression ne s’échappait pas. Elle le savait. Il le gérait seul, d’habitude. Mais ce soir-là, pendant un enchaînement, il s’est effondré. Tremblant. Le visage tordu par la douleur. Il a dit : « J’ai pas le temps de rentrer. Il faut que ça sorte. » Elle a regardé autour d’elle. Il n’y avait qu’eux deux. Et elle a dit : « Ok. Viens. »
Elle l’a emmené dans le coin du dojo, derrière le rideau. Il s’est mis nu, très vite, déjà dur, déjà au bord. Elle s’est agenouillée. A saisi son sexe. Elle ne voulait pas le faire. Mais elle savait que c’était ça ou le laisser souffrir. Elle a commencé lentement. Les gants glissaient à peine. Elle l’a regardé dans les yeux. Pas pour le guider. Pour lui faire comprendre qu’il ne fallait pas qu’il parle.
Il a éjaculé vite. Le jet l’a frappée en plein visage. Elle n’a pas fermé les yeux. Elle a senti la chaleur sur la joue, sur la tempe. Elle s’est reculée sans un mot. Il respirait mieux. C’était fini. Elle s’est essuyée du revers du gant et a soufflé : « Bon… maintenant, on reprend les kata. »
She taught evening classes for a tough group. Reintegration, injuries, broken bodies. He had a serious circulatory problem. A rare syndrome that caused unbearable pain if pressure didn’t release. She knew. He usually handled it alone. But that evening, during a combo, he collapsed. Trembling. Face twisted in pain. He said, “I can’t make it home. It has to come out.” She looked around. It was just them. And said, “Okay. Come on.”
She led him to the corner of the dojo, behind the curtain. He undressed quickly, already hard, already on edge. She knelt. Took his cock. She didn’t want to. But she knew it was that or let him suffer. She started slowly. The gloves barely slid. She looked him in the eyes—not to guide, but to make it clear: don’t speak.
He came quickly. The spurt hit her square in the face. She didn’t close her eyes. She felt the heat on her cheek, her temple. She pulled back, wordless. He breathed easier. It was done. She wiped her glove across her face and muttered, “Alright… now we get back to kata.”