C’est tout ce que j’ai / It’s All I Had

Josie Rizal – C’est tout ce que j’ai

Josie a été secourue par un homme après un petit accident de parcours – elle s’était tordue la cheville en fuyant un groupe de voyous, et il l’a trouvée, portée, soignée. Assise maintenant contre une barrière, elle cherche un moyen de le remercier. Mais elle n’a rien sur elle. Pas d’argent, pas de trousse de soin, pas même un mouchoir propre. Juste ses mains. Et une idée un peu bête lui vient. Elle rougit. Ce n’est pas grand-chose, mais… ce n’est pas horrible non plus, non ?

Elle se tourne vers lui, demande timidement s’il peut baisser son pantalon. L’homme hausse un sourcil, amusé, puis s’exécute. Il enlève aussi son haut pour être à l’aise, comme si ce moment demandait une forme de mise à nu sincère. Josie le regarde. Quand le sexe apparaît, elle sursaute un peu, souffle un rire nerveux. Elle ne pensait pas que ce serait si… imposant. Elle tend la main, le prend délicatement. Il est chaud, vivant. Puis, lentement, elle commence à le branler. De petits gestes souples, lents, comme elle imagine qu’on est censé faire. Elle ne dit rien, concentrée. Ce n’est pas très difficile, juste… un peu étrange.

Quand il éjacule sans prévenir, quelques instants plus tard, Josie cligne des yeux. Elle n’a même pas eu le temps d’accélérer. Le sperme coule sur ses doigts, tiède et gluant. Elle reste là, la main toujours refermée, un peu surprise, un peu honteuse. Elle lève les yeux vers lui. "Je… j’ai fait ce que j’ai pu." Il sourit. Elle aussi, malgré elle.

Josie had been rescued by a man after a small mishap—she had twisted her ankle running from a group of thugs, and he found her, carried her, and tended to her. Now sitting by a railing, she looked for a way to thank him. But she had nothing on her. No money, no supplies, not even a clean tissue. Just her hands. And a silly idea came to her. She blushed. It wasn’t much, but… it couldn’t be that bad, right?

She turned to him, and timidly asked if he could lower his pants. The man raised an eyebrow, amused, then complied. He took off his shirt as well, as if to feel more at ease—as if this moment needed some honest bareness. Josie looked. When his cock appeared, she jumped a little, then let out a nervous giggle. She hadn’t thought it would be so… imposing. She reached out, took it gently. It was warm, alive. Then, slowly, she began to stroke it. Small, slow movements, just as she imagined it should be done. She said nothing, focused. It wasn’t hard—just… a bit strange.

When he came without warning moments later, Josie blinked. She hadn’t even had time to go faster. The semen dripped across her fingers, warm and sticky. She stayed still, hand wrapped around him, surprised, a little ashamed. She looked up at him. "I… did what I could." He smiled. And so did she, despite herself.

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