Josie avait accepté de participer à une émission japonaise de variété, sans trop comprendre ce qu’on attendait d’elle. Elle croyait à un jeu de réflexe amusant. On lui mit un bandeau sur les yeux, on l’installa sur un tabouret, et on lui dit d’attendre les instructions. Quand elle rouvrit les yeux, un homme nu était déjà debout devant elle, sexe dressé. Elle sursauta. Puis un deuxième homme s’approcha, torse luisant, contournant doucement le tabouret : il posa presque naturellement son sexe contre son épaule, comme si c’était normal. Personne ne disait un mot. Plusieurs caméras tournaient. Un technicien leva les deux mains et mima un va-et-vient. Une autre femme derrière la caméra ouvrit la bouche en exagérant un geste de succion. Tous la regardaient.
Josie, figée, ne savait pas quoi faire. “C’est… c’est une blague, hein ?” murmura-t-elle. Pas de réponse. Elle leva timidement les mains, attrapa les deux sexes. Ils étaient bien réels. Vivants. Elle les serra un peu, se concentra sur leur chaleur. Puis, hésitante, elle approcha la bouche. D’abord le plus proche. Une succion maladroite. Un petit son mouillé. Elle se redressa, cligna des yeux, puis fit de même avec le second, la main gauche l’agitant en rythme. Autour d’elle, le silence était tendu. Juste des gestes vulgaires qui l’encourageaient, sans un mot. Et elle, perdue, qui essayait juste de faire “comme il faut”.
Ils éjaculèrent presque en même temps. Le premier sur sa joue. L’autre, en jet plus haut, sur son front et ses cheveux. Josie cligna des yeux, figée. Le sperme glissa lentement jusqu’à sa tempe. Elle ne bougea pas, comme assommée par l’absurde. Puis une voix s’éleva derrière la caméra : “Et… coupé ! Super, c’est dans la boîte !” Toute l’équipe éclata de rire. Josie, confuse, lâcha les deux sexes encore battants. “C’était… pour de vrai ?” demanda-t-elle. Et soudain, elle se mit à pleurer doucement, les joues pleines de sperme et de honte, tandis qu’on remballait déjà le matériel.
Josie had agreed to appear on a Japanese variety show, without really understanding what was expected. She thought it was a reflex game. They blindfolded her, sat her on a stool, and told her to wait for instructions. When she opened her eyes, a naked man was already standing in front of her, cock erect. She jumped. Then a second man approached, torso gleaming, quietly circling around the stool — and rested his shaft naturally on her shoulder, as if it were normal. No one said a word. Several cameras were rolling. A technician raised both hands and mimed a stroking gesture. A woman behind the camera exaggerated an open-mouth motion, as if performing oral. Everyone stared at her.
Josie froze. “This is… a joke, right?” she murmured. No answer. She timidly lifted her hands and grabbed both cocks. They were very real. Alive. She squeezed them slightly, focused on their warmth. Then, hesitant, she brought her mouth close. First the one in front of her. A clumsy suck. A wet little sound. She pulled back, blinked, then did the same with the second, her left hand stroking slowly. Around her, silence thickened. Just obscene gestures urging her on, without a word. And her, lost, just trying to do it "right".
They came almost at the same time. One on her cheek. The other, higher, on her forehead and hair. Josie blinked, frozen. The cum slid slowly down to her temple. She didn’t move, stunned by the absurdity. Then a voice rose from behind the camera: “And… cut! That’s a wrap!” The whole crew burst out laughing. Josie, confused, let go of the still-twitching cocks. “That was… real?” she asked. And suddenly, she began to cry softly, her cheeks covered in cum and shame, as the crew packed up the gear.