C’était un inspecteur du service de conformité, envoyé pour vérifier l’état du dojo. Un prétexte, évidemment — il n’y avait rien à redire. Mais il avait ce ton, ce regard glissant. Il savait qu’il pouvait bloquer le dossier, ralentir les procédures, déclencher un signalement. Il avait tout le pouvoir. “Il y a toujours moyen de s’arranger,” avait-il soufflé en rangeant ses papiers. Kazumi n’avait pas répondu. Elle l’avait regardé. Puis elle s’était levée, droite, impassible, et l’avait conduit dans une pièce sans fenêtres. “Déshabillez-vous. Il ne faut pas laisser de traces.”
Elle n’a pas demandé. Elle n’a pas souri. Elle a pris son sexe entre ses doigts comme on saisit un sabre. Une main à la base, l’autre plus légère, fluide, juste pour guider. Elle l’a masturbé avec une précision clinique. Pas sensuelle, pas distante non plus. Une mécanique impeccable, calculée, presque respectueuse. L’homme gémissait à peine, comme s’il n’osait pas. Kazumi, elle, ne bronchait pas. Tout était contenu. Tout était propre. Juste le bruit de sa peau contre la sienne, régulier, hypnotique.
Quand il a joui, elle ne l’a pas lâché. Le sperme a frappé son front, sa joue, son menton, et elle a poursuivi, implacable, jusqu’à la fin. Sa main restait ferme, même pendant les soubresauts. Il avait baissé les yeux, incapable de soutenir son regard. Elle, couverte de traces blanches, s’est levée sans se presser. Pas un mot. Juste un silence glacé. Il avait compris. L’affaire serait classée. Et elle, elle irait se laver — sans avoir jamais eu à s’excuser.
He was a compliance inspector, sent to review the dojo’s condition. A pretext, of course — there was nothing to report. But his tone was slick, his gaze insistent. He knew he could block the paperwork, delay the process, file a complaint. He held all the power. “There’s always a way to work things out,” he murmured while packing his notes. Kazumi didn’t reply. She looked at him. Then she stood up, calm and straight, and led him to a windowless room. “Undress. No stains left behind.”
She didn’t ask. She didn’t smile. She took his cock in her hand like a sword. One hand at the base, the other light, guiding. She stroked him with clinical precision. Not sensual, not distant either. Flawless, calculated, almost respectful. The man barely moaned, as if afraid. Kazumi didn’t flinch. Everything was controlled. Everything was clean. Only the sound of skin, steady, hypnotic.
When he came, she didn’t stop. His semen hit her forehead, her cheek, her chin, and she kept going — relentless — until the end. Her hand stayed firm through every spasm. He looked down, unable to meet her eyes. She, marked with white streaks, rose without rushing. Not a word. Only frozen silence. He understood. The case would be closed. And she would go wash — without ever needing to apologize.