Punition synchronisée / Synchronized Punishment

Kazumi Punition

Ils avaient volé dans les caisses du clan. Vendu des informations. Deux frères. Deux traîtres. Le conseil voulait les éliminer. Kazumi avait demandé un délai. “Je veux qu’ils comprennent.” Elle les avait convoqués dans la cour du sanctuaire, là où les statues des anciens regardaient toujours vers l’est. Ce n’était pas un lieu d’exécution — mais un lieu de mémoire. Elle n’avait pas crié, ni frappé. Elle avait juste dit : “Déshabillez-vous.” Ils s’étaient regardés, hésitants. Puis obéissants. Elle s’était postée entre eux. “Vous pensiez pouvoir prendre sans rendre ? Alors donnez.”

Ses mains les ont saisis en même temps. Même pression. Même rythme. Elle ne regardait ni l’un ni l’autre. Juste droit devant elle, visage figé, dos droit. Leurs souffles se synchronisaient malgré eux. Ils n’osaient rien dire. Kazumi masturbait sans douceur, sans sensualité, mais sans relâche. Juste assez de peau. Juste assez de tension. Le sol de pierre résonnait du frottement cadencé de ses paumes. Elle les maintenait dans le même tempo — comme deux corps qu’on pousse jusqu’au jugement.

Quand ils ont joui, ce fut d’un même coup. Deux jets, deux angles, une seule cible : son visage. Elle ne bougea pas. La semence l’atteignit de part en part — joue, nez, bouche, cils. Elle continua encore un peu, le temps d’extraire le reste, puis lâcha, net. Elle les laissa là, pantelants, honteux, encore nus. Elle, debout, couverte mais intacte, les regarda enfin. “Allez. Ce que vous avez pris est rendu.” Et les portes s’ouvrirent.

They had stolen from the clan’s funds. Sold information. Two brothers. Two traitors. The council wanted them executed. Kazumi asked for a delay. “I want them to understand.” She summoned them to the sanctuary courtyard, where the statues of the elders always faced east. It wasn’t a place of death — it was one of memory. She hadn’t raised her voice. She simply said, “Undress.” They hesitated. Then obeyed. She stepped between them. “You thought you could take without giving? Then give.”

Her hands gripped them simultaneously. Same pressure. Same rhythm. She didn’t look at either one. Just straight ahead, unmoving. Their breathing fell into sync. Neither dared to speak. Kazumi jerked them without warmth or lust, but with steady precision. Enough skin. Enough friction. The stone beneath echoed with the rhythm of her strokes. She kept them together — as if pushing two bodies to judgment.

When they came, it was at once. Two streams, two paths, one face. She didn’t move. The semen hit across her features — cheek, nose, mouth, lashes. She continued just a moment longer, then released them both. They stood there, ashamed, naked. She, still dressed and upright, met their eyes. “Go. What you took is returned.” The doors opened behind them.

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