Elles n’avaient pas compris tout de suite. Le match venait de s’achever sur une égalité parfaite : gestes nets, scores identiques, aucune erreur. Une voix avait retenti : « Activation clause 11.7 : duel de départage. » Les deux femmes s’étaient tournées vers l’arbitre, perplexes. Puis deux hommes étaient montés sur le ring, entièrement nus, membres déjà tendus, suivis de deux assistants qui restèrent à distance. Kazumi fronça les sourcils.
— « Tu savais pour ça ? »
— « Je signe toujours sans lire les dernières pages. »
— « Ce n’est pas une clause, c’est une mise à nu. »
— « Bienvenue dans l’ère du contenu premium. »
Le speaker reprit, ton neutre : « Trois minutes. Une giclée. Une seule victorieuse. » Un éclairage latéral les força à s’agenouiller. Elles s’exécutèrent. Lentement.
C’est quand elles prirent les sexes en bouche que la foule bascula. Les premiers soupirs, puis les mouvements, les frottements. Dans les gradins, la grande majorité des hommes avaient sorti leur sexe. Serrés, debout, à genoux, tous les regards braqués sur les deux femmes. Ils se masturbaient, ensemble, sans gêne. Kazumi sentit cette masse. Cette obscénité en collectif.
— « Ils se branlent… sur nous ? »
— « Tu espérais quoi ? Qu’ils prennent des notes ? »
Elle ravala sa salive. Sa bouche s’activait, mais son cœur n’y était plus. Raven, elle, ne faiblissait pas. Chaque va-et-vient était méthodique. Pas de sensualité, juste de la maîtrise. Kazumi dérapa une seconde, en heurtant les dents. Raven, elle, descendait toujours plus profond, mâchoires ouvertes, langue tendue. Une des bites tremblait déjà.
L’éjaculation vint d’un coup. Le sperme de Kazumi la frappa à la joue et coula jusqu’à son col. Elle sursauta à peine. Celui de Raven explosa en pleine bouche ; elle ne recula pas. Elle laissa la bouche entrouverte, quelques secondes. Dans la foule, c’était l’apogée. Une pluie de gémissements, des jets blancs qui perlaient sur les ventres, les bancs, les mains.
— « Victoire de Master Raven. »
Kazumi se redressa, le visage figé. Raven tourna lentement la tête vers elle.
— « C’est toujours les silencieuses qui gagnent. »
Puis elle sourit, le sperme encore sur les lèvres.
They didn’t understand at first. The match had ended in a perfect tie: clean moves, identical scores, no faults. A voice echoed: “Clause 11.7 activated: tiebreaker round.” The two women turned to the referee, puzzled. Then two men stepped onto the ring, fully naked, already semi-hard, followed by two silent assistants who stayed back. Kazumi frowned.
— “You knew about this?”
— “I never read the final pages.”
— “This isn’t a clause, it’s exposure.”
— “Welcome to the premium content era.”
The announcer resumed, voice flat: “Three minutes. One climax. One winner.” Spotlights turned, forcing them to kneel. They obeyed. Slowly.
It was when their mouths wrapped around the cocks that the audience shifted. Whispers, then moans, then unmistakable sounds. In the stands, most men had pulled their cocks out. Tight together, standing, crouched — all eyes locked on the two women. They were jerking off, shameless, synchronized. Kazumi felt it. That wave of shared obscenity.
— “They’re jerking off… to us?”
— “What did you expect? Lecture notes?”
She swallowed hard. Her mouth moved, but her mind drifted. Raven didn’t falter. Each motion was precise. No sensuality, just control. Kazumi slipped once, her teeth brushing. Raven, meanwhile, went deeper, jaw wide, tongue sharp. One cock started to tremble.
The climax hit fast. Kazumi’s face took the load — warm, slick, trailing down her collar. She barely blinked. Raven took hers directly in the mouth. She didn’t flinch. She even left her lips parted, letting it linger. The crowd roared. Moans, wet slaps, jets across bellies and arms and benches.
— “Victory: Master Raven.”
Kazumi straightened, expression blank. Raven turned slowly to her.
— “The quiet ones always win.”
Then she smiled, cum still on her lips.