On devrait leur facturer le spectacle / We Should Charge for the Show

Kazumi et Raven — combat buccal

Ils allaient quitter le ring quand un officiel surgit, téléphone en main, le sexe à moitié sorti de sa braguette. Il s'approcha de l'arbitre, sans même remettre sa verge en place. Kazumi haussa un sourcil.

— « Il a oublié de se ranger ? »
— « Ou alors il n’a pas fini. »

Le responsable murmura quelque chose à l’arbitre. Les replays venaient d’être visionnés. Verdict : éjaculations parfaitement simultanées. L’arbitre soupira, regarda Kazumi, puis Raven, puis baissa les yeux sur son propre sexe — durci sans qu’il s’en rende compte. Il retira ses vêtements, un à un. Torse nu. Nu tout court.

— « Très bien. Je vais vous départager moi-même. À celle qui me fait jouir. »

Il s’approcha calmement, sexe en main. Les deux femmes s’agenouillèrent.

Kazumi attaqua la première. Raven la suivit. Pas de complicité, pas de partage. Une vraie compétition. Va-et-vient précis, lèche-bourses mesurés, alternance tendue. Les répliques fusaient entre deux coups de langue.

— « Tu peux t’arrêter, je crois que j’ai déjà pris l’avantage. »
— « Il n’a pas gémi. Ça compte pas. »
— « Il respire plus vite. C’est qu’il aime ma façon. »
— « Non. Il est juste impressionné par mon contrôle. »
— « Attention. S’il jouit sur toi, je gagne. »
— « S’il jouit sur nous deux, je gagne quand même. »

Elles le dominaient ensemble, leurs bouches se relayant avec précision, leurs langues jouant l’endurance contre la précision. Et finalement, il craqua. Un cri. Un jet. Une explosion sur leurs deux visages.

Le silence. Puis :
— « Égalité... encore. »

L’arbitre jeta un œil vers les gradins. Il allait appeler le public… mais tous les hommes étaient effondrés, pantalons ouverts, sexes encore humides, certains endormis sur place. Il renonça d’un geste vague.

Kazumi souffla :
— « Mieux vaut pas être gênée par les bites ici… »

Raven se redressa lentement, un filet de sperme brillant encore sur la lèvre.
— « On devrait leur facturer le spectacle. »

They were about to leave the ring when an official rushed in, phone in hand, his cock half hanging out of his fly. He approached the referee without even adjusting himself. Kazumi raised an eyebrow.

— “Forgot to tuck it in?”
— “Or maybe he wasn’t done.”

The man whispered something. The replays had been reviewed. Verdict: perfectly simultaneous ejaculation. The referee sighed, looked at Kazumi, then Raven, then down at his own cock — already stiff. He stripped slowly. Shirt. Pants. Everything.

— “Fine. I’ll decide myself. Whoever makes me come, wins.”

He stepped forward, cock in hand. The two women knelt before him.

Kazumi moved first. Raven followed. No sharing. No grace. Just war. Precise strokes, perfect switches, measured tongue work. Their barbs cut between breaths.

— “You can stop now, I’ve already taken the lead.”
— “He didn’t moan. Doesn’t count.”
— “He’s breathing faster. Must like my rhythm.”
— “No. He’s just impressed by my control.”
— “Careful. If he comes on you, I win.”
— “If he comes on both, I still win.”

They shared him with expert cruelty. Lips, breath, heat. Until the inevitable broke free — a loud groan, and a shared splash across both faces.

Silence. Then:
— “Draw… again.”

The referee glanced toward the stands. He considered calling the public — but all the men were collapsed, pants open, cocks still dripping. Some were asleep.

Kazumi muttered:
— “Hope you’re not squeamish about dicks around here…”

Raven rose slowly, cum still glistening on her lip.
— “We should charge for the show.”

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