Ils étaient entrés comme des vautours. Deux agents du Mishima Zaibatsu. Dossiers en main, chemises fermées jusqu’au col, mais déjà les regards pleins de mépris.
— « Votre mari est introuvable. Trois blessés, un dojo détruit. Les preuves sont là. Le rapport part ce soir. »
Kazumi était restée debout, droite. Sa voix avait à peine tremblé.
— « Il n’y a… rien que je puisse faire pour lui éviter ça ? »
Ils s’étaient regardés. Puis sans un mot, avaient défait leurs ceintures. Pantalons au sol. Deux bites dures, plantées là, comme des armes.
— « Peut-être. Si vous êtes vraiment motivée. »
Elle avait senti un goût métallique dans sa gorge. Un instant, elle avait presque reculé.
Puis elle s’était mise à genoux. Lentement. Sans les regarder.
Elle ne les touchait pas comme des hommes. Elle tenait deux morceaux de viande. Deux bites gonflées, luisantes, absurdes dans leur prétention. L’une dans chaque main. Elle en prit une en bouche, sans douceur. Puis l’autre. Pas pour donner du plaisir — pour aller au bout. Sa langue glissait mécaniquement. Sa gorge travaillait. Elle n’y pensait pas. Elle ne devait pas y penser. Les deux bites cognaient parfois contre sa joue. Parfois, elle les suçait en alternance. Parfois en même temps. Elle faisait de son mieux. Elle voulait juste que ça suffise. Mais au fond, elle savait : ça ne suffirait pas. Ces deux bites n’étaient pas là pour son mari. Elles étaient là pour elle. Pour l’humilier.
Le sperme jaillit presque sans avertir. L’un l’éclaboussa sur le nez, l’autre dans les cheveux. Elle ferma les yeux, resta immobile. Le goût était âcre, écœurant. Ils se rhabillaient déjà.
— « Franchement… c’était pas fou. »
— « Non. Elle a même pas fait sa part. »
Ils quittèrent le dojo. Rieurs. Secs. Ignorants.
Kazumi resta là. À genoux. Les poings fermés. Le sperme tiède sur la peau.
Dans le silence, un picotement naquit dans sa nuque. Puis un souffle. Rouge.
Le démon ouvrit les yeux.
Et quelque chose mourut en elle. Pas sa dignité. Pas sa volonté.
Sa patience.
They came in like vultures. Two agents from the Mishima Zaibatsu. Files in hand, collars buttoned, eyes already full of contempt.
— “Your husband’s missing. Three injured, one dojo destroyed. The evidence is solid. The report goes out tonight.”
Kazumi stood tall, voice barely trembling.
— “There’s... nothing I can do to help him?”
They exchanged a look. Then without a word, dropped their belts. Pants down. Two hard cocks, planted like weapons.
— “Maybe. If you’re really motivated.”
A bitter taste rose in her throat. For a second, she almost stepped back.
Then she knelt. Slowly. Without looking at them.
She didn’t touch them like men. She held two slabs of meat. Two swollen, glistening dicks — absurd in their arrogance. One in each hand. She took one into her mouth, without tenderness. Then the other. Not to give pleasure — to get it over with. Her tongue moved by reflex. Her throat worked. She didn’t think. She couldn’t think. The cocks slapped her cheeks. She alternated. Sometimes both. She tried her best. She only wanted it to be enough. But deep down, she knew — it wouldn’t be. Those cocks weren’t there for her husband. They were there for her. To humiliate her.
The cum hit without warning. One across her nose, the other into her hair. She closed her eyes, unmoving. The taste was bitter, sickening. They were already dressing.
— “Honestly... that wasn’t great.”
— “She didn’t really do her part.”
They left the dojo. Cold. Dismissive. Laughing.
Kazumi remained. Kneeling. Fists clenched. Warm semen on her skin.
In the silence, a tingling rose in her neck. Then a pulse. Red.
The demon opened its eyes.
And something died in her. Not her pride. Not her strength.
Her patience.