Interrogatoire à la japonaise / Japanese Interrogation

Kunimitsu – fellation sous le masque à Paris

Il n’avait pas voulu parler. Même sous les menaces. Même face au poison. Alors on l’avait amené à elle. Sous le pont, loin des regards, le clan avait organisé le contact. Pas de question, pas de mot — Kunimitsu n’avait besoin que de son masque, de ses mains, et de son silence. L’homme ne savait pas ce qui l’attendait, seulement qu’il devait obéir. Il avait été déshabillé. Elle était restée en tenue.

Agenouillée, elle avait sorti lentement sa langue. L'avait laissée frôler le bout de sa verge, comme une sonde vivante. Puis elle l’avait prise en bouche. Pas pour lui offrir un plaisir. Pour lui voler sa résistance. Chaque succion, chaque va-et-vient précis, mesuré, coupait une part de sa volonté. Elle ne le regardait même pas — le masque suffisait. Elle suçait, encore, encore, jusqu’à ce que son souffle change, que sa voix monte, que ses mots glissent. Et il avait parlé.

Il était déjà trop tard. Le plaisir avait emporté ce qui restait de secrets. Kunimitsu s’était redressée. L’homme avait éjaculé entre ses gants sans qu’elle le regarde. Elle n’avait pas cherché à l’éviter — ce n’était qu’un reste inutile. D’un geste lent, elle avait essuyé le sperme sur le dos de sa main. Elle avait tout appris. Et il ne reverrait plus jamais le visage de celle qui l’avait vidé.

He hadn’t wanted to talk. Not under threats. Not facing poison. So they brought him to her. Under the bridge, far from eyes, the clan had arranged the meeting. No questions, no words — Kunimitsu needed only her mask, her hands, and her silence. The man didn’t know what to expect, only that he had to obey. He was stripped. She stayed dressed.

Kneeling, she slowly let her tongue out. Let it graze the tip of his cock, like a living probe. Then she took it in her mouth. Not to give him pleasure — to steal his resistance. Every suck, every precise, measured movement cut away a piece of his will. She didn’t even look at him — the mask was enough. She kept going, steady, relentless, until his breath changed, his voice wavered, and his words slipped. And he spoke.

It was already too late. Pleasure had stolen what secrets remained. Kunimitsu stood up. The man came between her gloves without even being seen. She didn’t flinch — it was just waste. Slowly, she wiped the cum from the back of her hand. She had learned everything. And he would never see the face of the one who emptied him.

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