Essai de genjutsu / Genjutsu Trial

Kunimitsu – entraînement sensuel au genjutsu sexuel

Ce n’était qu’un exercice. Un entraînement de précision. Le clan Manji avait développé une technique rare : induire une transe par genjutsu sexuel, en utilisant les zones nerveuses les plus sensibles du corps masculin. Kunimitsu s’était portée volontaire. Le cobaye était maintenu nu, docile, mais conscient. Elle, masquée comme toujours, devait tester l’effet d’une caresse lente, d’une stimulation rythmée. Pas pour exciter. Pour hypnotiser.

Elle avait saisi sa verge à deux mains, en silence. Ses pouces frôlaient la base, ses gants montaient par vagues. Le regard fixé sur le gland, elle sentait la tension, mais restait concentrée. Chaque mouvement était calculé. Pourtant, au bout de quelques minutes, elle avait senti autre chose. Une chaleur dans son ventre. Une pulsation familière. Ce n’était pas la transe de l’homme qui l’atteignait. C’était son propre souffle qui s’accélérait. Et elle n’avait pas ralenti.

Elle savait qu’elle aurait dû arrêter. Mais elle voulait voir. Jusqu’où elle pouvait aller avant de perdre elle-même la distance. Le sexe était dur, prêt, vivant sous ses doigts. Elle n’avait pas ouvert la bouche. Mais son masque, pourtant opaque, semblait vibrer. Elle ne le toucherait pas avec les lèvres. Pas encore. Mais elle continuerait. Juste un peu. Pour tester.

It was just an exercise. A precision training. The Manji clan had developed a rare technique: inducing a trance via sexual genjutsu, by targeting the most sensitive neural zones of the male body. Kunimitsu had volunteered. The subject was kept naked, docile, but aware. She, masked as always, had to test the effect of slow caresses, rhythmic stimulation. Not to arouse. To hypnotize.

She gripped his cock with both hands, silently. Her thumbs brushed the base, her gloves moved in waves. Her gaze was fixed on the tip — she felt the tension, but stayed focused. Every move was calculated. Yet after a few minutes, she felt something else. A heat in her belly. A familiar pulse. It wasn’t his trance reaching her. It was her own breath quickening. And she didn’t slow down.

She knew she should’ve stopped. But she wanted to see. How far she could go before losing that inner distance. The cock was hard, ready, alive in her hands. She hadn’t opened her mouth. But the mask, though solid, seemed to vibrate. She wouldn’t kiss it. Not yet. But she would keep going. Just a little more. To test.

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