Ils avaient parlé de Strikofight comme d’un sport régional traditionnel.
Un affrontement technique, vif, “basé sur les appuis et la pression du bassin” — c’est ce qu’ils disaient.
Leo, curieuse, avait hoché la tête, pensant à une variante locale du kendo ou du bâton de combat.
Elle avait suivi, habillée, concentrée, jusque dans un dojo discret en périphérie.
Mais à peine la porte passée, les hommes s’étaient déshabillés sans gêne.
Ils échauffaient leur bassin, se frappaient légèrement le bas-ventre pour “activer la tension”.
Et c’est là qu’elle a compris.
Ce n’était pas du maniement de bâtons. C’était un combat de bites.
Un vrai. Codifié.
Un cercle, deux adversaires, et un duel où le premier à éjaculer perd.
Leo est restée debout, figée, la bouche sèche.
Et elle a murmuré, d’une voix blanche :
— « J’abandonne. »
Un silence. Puis un hochement de tête.
Mais l’un des hommes ajouta, très sérieusement :
— « Tu es sûr ? Parce que… la tradition est claire. Un abandon avant combat implique une soumission buccale. »
Elle a cligné des yeux.
Ils ne plaisantaient pas. C’était une règle.
Elle ne pouvait ni combattre, ni fuir.
Alors elle a hoché la tête.
— « Oui. J’accepte. »
Ils l’ont conduite au centre. Elle s’est agenouillée sans un mot.
Les deux “désignés” se sont placés devant elle. Nus. Raides. Prêts.
Leo a levé les yeux, lentement.
Leurs sexes étaient là, à quelques centimètres de son visage.
Elle a senti l’odeur en premier : humide, lourde, vivante.
Son ventre s’est noué. Mais elle devait tenir.
Elle a ouvert la bouche.
Le premier sexe est entré, puis le second, en alternance.
Elle ne savait pas quoi faire.
Alors elle a juste bougé les lèvres. Lentement.
Comme si elle répétait une danse qu’elle n’avait jamais apprise.
Les hommes soupiraient.
Ils avaient les yeux fermés, concentrés, comme dans une prière.
Et elle, elle s’appliquait. Par erreur.
Elle voulait juste qu’ils croient qu’elle savait. Qu’elle était un d’eux.
Et ils y ont cru. Trop bien.
Le premier a gémi, la main sur sa tête, et a joui dans sa bouche.
Leo a tenté de se reculer — trop tard.
Le second a explosé à son tour, et ses jets ont frappé son visage, ses cils, sa langue, sa gorge.
Elle est restée figée, agenouillée entre eux, le souffle court.
Les deux hommes ont soupiré, apaisés, presque émus.
— « Merci pour ton respect des traditions. »
Leo n’a rien dit.
Elle avait du foutre sur les lèvres, dans la gorge, sur la peau.
Et un vertige silencieux dans la tête.
Elle ne savait pas ce qu’elle avait honoré.
Mais elle l’avait fait. Jusqu’au bout.
They spoke of Strikofight as a regional traditional sport.
A technical contest, sharp, “based on stance and pelvic pressure” — that’s what they said.
Curious, Leo nodded, thinking it was some local kendo variant or stick-fighting.
She followed, dressed, focused, into a quiet outskirt dojo.
But as soon as they entered, the men undressed without hesitation.
They warmed up their hips, slapping their lower bellies to “activate tension.”
That’s when she understood.
It wasn’t sticks. It was a dick fight.
A real one. Codified.
A circle, two opponents, and the first to cum loses.
Leo stood still, dry-mouthed.
And whispered, pale:
— “I forfeit.”
A pause. Then a nod.
But one of the men added, seriously:
— “You’re sure? Because… tradition says forfeiting before a match requires a mouth-based submission.”
She blinked.
They weren’t joking. It was a rule.
She couldn’t fight. Couldn’t leave.
So she nodded.
— “Yes. I accept.”
They led her to the center. She knelt down silently.
The two chosen fighters stood before her. Naked. Hard. Ready.
Leo looked up slowly.
Their cocks hovered just inches from her face.
She smelled it first: humid, strong, alive.
Her stomach twisted. But she had to hold.
She opened her mouth.
The first cock entered, then the second, back and forth.
She didn’t know what to do.
So she just moved her lips. Slowly.
Like repeating a dance she’d never learned.
The men sighed.
Eyes closed, focused, almost reverent.
And she tried her best. Mistakenly.
Just so they’d believe she belonged. That she was one of them.
And they believed it. Too much.
The first groaned, hand on her head, and came in her mouth.
Leo tried to back away — too late.
The second burst right after, his cum splashing her cheeks, her lashes, her tongue, her throat.
She stayed frozen, kneeling between them, breath short.
The two men sighed, relieved, almost touched.
— “Thanks for respecting the tradition.”
Leo said nothing.
Her lips were coated. Her throat full. Her skin marked.
And her head swirled in silent nausea.
She didn’t know what she’d just honored.
But she’d done it. Completely.