Acceptée à genoux / Accepted on Her Knees

Leo Accepted Kneeling

Elle leur avait dit. Calmement.
Une phrase à peine audible, juste avant l’entraînement.
— « Je suis une femme. »
Ils l’avaient regardée. Sans moquerie. Sans gêne. Juste ce silence épais, long, que les hommes utilisent pour encaisser sans comprendre.
Puis l’un d’eux avait dit :
— « Tu veux rester avec nous ? »
Leo avait hoché la tête.
Et ils avaient répondu simplement :
— « Alors… il faudra que tu nous le prouves. »
Elle n’avait pas demandé ce que ça voulait dire.
Elle s’était contentée de suivre.
Et de s’agenouiller, quand ils l’ont appelée.

Leurs sexes étaient déjà durs.
Ils ne riaient pas. Ils respiraient. Fort.
Leo, elle, n’avait pas tremblé. Elle avait juste levé la tête, puis abaissé les yeux.
Ses doigts s’étaient posés sur eux avec une lenteur absurde.
Et sa bouche s’était ouverte.
Le premier est venu, lentement, frôlant sa langue.
Puis le second.
Elle ne savait pas comment faire.
Mais elle voulait bien faire.
Parce qu’elle voulait rester.
Elle voulait être acceptée — peu importe le prix.
Alors elle a alterné. Doucement. En rythme.
La langue tendue, la bouche creuse, les lèvres humides.
Elle a entendu leurs soupirs, senti leurs muscles se tendre.
Elle a pris tout ce qu’elle pouvait. Sans réfléchir.
Et elle a continué.
Jusqu’à la fin.

La fin est arrivée vite.
Un souffle coupé. Un hoquet. Et la brûlure chaude sur son visage.
Puis le second. Plus fort. Plus épais. Directement sur sa langue.
Leo n’a pas bougé.
Elle avait le sperme sur les lèvres, dans la bouche, sur la peau.
Elle avait mal au cou, au ventre, aux pensées.
Mais elle est restée là.
À genoux.
Le foutre coulant lentement sur ses joues.
Et les deux hommes, haletants, debout, l’ont regardée.
— « Merci, Leo. T’es des nôtres. »
Elle n’a pas répondu.
Elle n’en avait pas besoin.
Elle avait tenu. Et c’était tout ce qu’elle avait à faire.

She told them. Quietly.
A barely audible sentence, just before training.
— “I’m a woman.”
They looked at her. No mockery. No shame. Just that thick, long silence men use to process without understanding.
Then one of them asked:
— “You want to stay with us?”
Leo nodded.
And they simply replied:
— “Then… you’ll have to prove it.”
She didn’t ask what that meant.
She just followed.
And knelt down when they called her.

Their cocks were already hard.
They weren’t laughing. They were breathing. Heavily.
Leo didn’t tremble. She just looked up, then lowered her gaze.
Her fingers touched them slowly, almost absently.
Then her mouth opened.
The first slid in, brushing her tongue.
Then the second.
She didn’t know what to do.
But she wanted to do it right.
Because she wanted to stay.
She wanted to be accepted — no matter the cost.
So she alternated. Gently. In rhythm.
Tongue stretched, lips parted, breath shallow.
She heard their sighs, felt their muscles tighten.
She took in as much as she could. Without thinking.
And she kept going.
Until the end.

The end came fast.
A sharp gasp. A moan. And the hot splash across her face.
Then the second. Thicker. Stronger. Right on her tongue.
Leo didn’t move.
Her lips were coated, her mouth full, her skin slick with cum.
Her neck ached. Her stomach turned.
But she stayed there.
Kneeling.
Cum sliding slowly down her cheeks.
And the two men, panting, looked at her.
— “Thanks, Leo. You’re one of us.”
She didn’t reply.
She didn’t have to.
She had held on. And that was all she needed to do.

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