Le dojo était vide depuis longtemps. Trois élèves étaient restés un peu plus tard, histoire de bavarder et de se détendre après l’entraînement. Léo, assise entre eux, souriait timidement à leurs blagues. Mais depuis quelques semaines, des rumeurs circulaient. Trop fine, trop belle. Trop mystérieuse. Alors, pour s’amuser — et peut-être pour creuser la question — ils lancèrent un “Acte ou Vérité”. Les tours passèrent, jusqu’à celui de Léo. Elle choisit “vérité”. Et la question tomba, simple, directe :
— « Léo… est-ce que t’es une fille ? »
Elle se figea. Son sourire disparut. Un silence lourd s’installa. Et elle ne répondit pas.
L’un des garçons haussa les épaules avec un petit rire :
— « Bon ben, si t’réponds pas, c’est acte. »
Les deux se levèrent, baissèrent leur pantalon, et laissèrent leurs sexes retomber à l’air libre.
Léo resta figée une seconde. Puis, lentement, baissa les yeux. Les deux sexes, semi-durs, la frôlaient presque. Celui de droite, large et gonflé, lui donnait presque le vertige. Elle avala sa salive. Puis murmura :
— « C’est bon… vous avez gagné. Mais vous le dites à personne. »
Les garçons s’échangèrent un regard satisfait. Comme si tout était confirmé. Sans dire un mot, ils se placèrent chacun à une extrémité. L’un posa une main sur son épaule, l’autre dans sa nuque. Pas pour la retenir, juste pour l’enfermer. Léo se pencha. D’abord un seul sexe. Elle l’embrassa à peine. Il réagit tout de suite. Puis elle ouvrit les lèvres. Lentement. Elle voulait aller vite, mais son corps tremblait. Elle enroula sa langue. Et l’autre sexe vint se poser contre sa joue. Ils la tenaient, tous les deux, comme s’ils n’avaient jamais douté.
La jouissance vint plus vite qu’elle ne l’aurait cru. Un des deux se tendit, lâcha un gémissement étouffé… et jouit dans sa bouche. Elle n’avait rien vu venir. Le sperme éclata d’un coup sur sa langue. Elle voulut reculer, mais trop tard. Le goût la frappa net, salé, intense. Elle ferma les yeux. Avala sans réfléchir. Et releva lentement le regard. L’autre garçon bandait toujours. Plus dur que jamais. Et ses doigts, sans attendre, glissèrent derrière sa tête.
The dojo had been empty for a while. Three students had stayed late, just to hang out and unwind after practice. Leo, sitting between them, smiled shyly at their jokes. But for weeks now, rumors had been flying. Too slim, too pretty. Too quiet. So to have a little fun — and maybe dig a bit — they started a game of “Truth or Act.” The turns passed until it was Leo’s. She chose “truth.” And the question came, blunt and direct:
— “Leo… are you a girl?”
She froze. Her smile vanished. The silence turned heavy. And she didn’t answer.
One of the guys shrugged with a small laugh:
— “Well, if you don’t answer, it’s act.”
The two of them stood up, dropped their pants, and let their cocks hang in the air.
Leo froze for a second. Then slowly lowered her eyes. The two dicks, half-hard, were almost brushing her. The one on the right—thick and heavy—made her dizzy. She swallowed and whispered:
— “Fine… you win. But don’t tell anyone.”
The boys exchanged a knowing look. Like they had their confirmation. Without a word, they moved beside her. One rested a hand on her shoulder, the other on her neck. Not to hold her—just to surround her. Leo leaned in. Just one cock at first. She kissed it softly. It twitched instantly. Then she parted her lips. Slowly. Her body trembled, but she pushed on. Her tongue curled around it. And the second cock pressed against her cheek. They held her like they had never doubted.
The climax came sooner than she expected. One of them stiffened, grunted… and came in her mouth. She hadn’t seen it coming. The cum hit her tongue in a sudden burst. She tried to pull back, but too late. The taste hit her hard—salty, intense. She shut her eyes. Swallowed by reflex. Then slowly looked up. The other guy was still rock hard. And without waiting, his fingers slid behind her head.